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Retrouvez la première exposition centrale de Jardin d’hiver à l’Espace 400e avec une exposition collective des artistes qui composent le volet d’art public de Jardin d’hiver 2023 et une exposition solo du collectif québécois Pierre&Marie.
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– Du collectif Pierre&Marie
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– Avec Alissa Bilodeau, Carol-Ann Belzil Normand, Catherine Boisvenue Ménard, Charles-Étienne Brochu,
Collectif Ambitieux, Dan Brault, Elisabeth Perrault, Gerald Beaulieu, Jean-Pierre Gauthier,Josée Landry-Sirois, Kenojuak Askhevak, Mathieu Gotti et Myriam Simard-Parent.
https://bit.ly/3Ioegz7
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Inspirés d’une vidéo dévoilant un projet de médiation culturelle qui a eu lieu dans une école à Québec, les élèves pourront créer leur propre masque coloré aux allures d’un animal carnavalesque.
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Inspirés d’un corbeau fabriqué en pneus de voiture, les élèves pourront créer leur propre « bête » en chambres à air de vélo recyclées. Une silhouette d’oiseau, de renard ou de chat, etc. servira d’idée initiale à ce collage singulier et original.
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Inspirée par l’univers tragico-comique du duo Pierre&Marie, une petite créature farfelue en peluche sera fabriquée ainsi que sa mise en scène dans un décor aux allures catastrophiques.
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Inspirés du travail de cette pionnière Inuite, les élèves seront initiés à la technique de l’estampe à l’aide de plaques d’impressions à graver.
https://bit.ly/3Ioegz7
Depuis 15 ans, les deux artistes s’amusent à déployer une ménagerie de personnages fabulés, de machines improbables et d’animaux bien connus. Leurs animaux, créatures et autres protagonistes sont étranges ou perturbants parce qu’ils sont les témoins des paradoxes résultant des excès de nos sociétés humaines. Des émojis sombrent dans un néant goudronné. Un personnage en cœur est prisonnier d’une forêt carbonisée. Des yeux de velours observent le public avec la même douceur qu’une entreprise technologique. L’empreinte, parfois indélébile, d’un humour noir assumé marque la carrière du collectif qui a à cœur de créer des scintillements de naïveté pour nous émerveiller.
C’est de cette capacité à faire coexister l’émerveillement et l’inquiétude que s’est révélé le titre de cette exposition : Des sanctuaires au cœur des brasiers. Vous découvrirez dans les salles des œuvres qui évoquent des sujets à préserver, à protéger coûte que coûte.
Cette édition du Jardin d’hiver se veut un évènement qui rassemble le plus de générations possibles autour d’éléments fantastiques du vivant ; l’exposition a été réfléchie comme écosystème imaginaire collectif laissant une place aux animaux réels comme aux créatures. Le bestiaire s’est présenté comme une thématique évoquant à la fois le familier, l’inquiétant et le merveilleux. En voulant l’apprivoiser, j’ai proposé aux artistes d’exprimer leurs émotions et réactions que ces bêtes suscitent.
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