Place Jacques-Cartier : un 16 étages pour assurer le dynamisme du centre-ville ?
Source : Droit de parole, Marc Grignon, avril 2013 (…) Le géographe Guy Mercier, qui a beaucoup étudié Saint-Roch, propose une analyse très pertinente dans son texte Le jardin Saint-Roch ou la centralité perdue (La ville en quête de nature, Septentrion, 1998). Le géographe avance que la renaissance de Saint-Roch dans les années 1990 n’a pu se réaliser que du moment où on a mis de côté le rêve de faire revivre la ‘centralité perdue’, celle d’un centre-ville unique, comme on le voyait au début du XXe siècle. En misant plutôt sur le recyclage d’édifices anciens, sur le retour des résidants et sur l’amélioration de la qualité de vie, l’administration municipale de l’époque a fait le pari que quelque chose de nouveau se passerait. Chose assez rare dans le monde des sciences humaines, ce texte publié en 1998 avait très bien anticipé le succès de ces mesures. (…)[ Lire la suite (p. 5) ]
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