«On banalise la fugue» – Louise Fortin
Source : Le Québec Express, Isabelle Le Maléfan, 18 septembre 2013 Cela fait six mois que Squat Basse-Ville a réduit ses offres de services. La directrice de l’établissement, Louise Fortin, est en colère : «On nous a forcés à abandonner les jeunes.» Avec ces nouveaux horaires, la moitié des jeunes fugueurs ne se présentent plus à l’organisme. (…)Depuis avril dernier, le Squat Basse-Ville a été contraint, en raison d’un déficit budgétaire, de fermer ses portes de 10 h à 16 h et les fins de semaine, pour devenir un refuge de nuit. (…)[ Lire la suite (vidéo) ]
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