1 an, ça se fête!

C’est mardi dernier que les équipes de blogueurs de Monsaintroch et Monsaintsauveur se sont réunies au reconnu Clocher Penché pour célébrer leur première année d’existence !Alors que nous étions attablés, et que je m’en donnais à cœur joie à instagrammer et à tweeter, il m’est venu à l’esprit qu’en un an, nous n’avions jamais consacré d’article à cette institution qu’est le Clocher Penché. Pionnier d’un quartier en devenir, l’établissement a su s’adapter au fil des années et à réussi à maintenir un niveau de qualité constant qui fait sa réputation.Personnellement, j’ai surtout fréquenté le Clocher Penché pour ses brunchs uniques et recherchés — si vous recherchez la typique assiette deux oeufs-bacon, passez votre chemin ! Les brunchs du Clocher Penché sont certainement parmi les plus créatifs en ville ! La déco est simple, chaleureuse — on s’y sent accueilli comme chez des amis. Les marcheurs comme moi ne manqueront pas de signaler les imposantes boîtes à fleurs qui garnissent les fenêtres de l’établissement comme un signe certain des saisons qui s’égrènent.Mais mardi, comme c’était fête, nous avons trinqué avec un vin d’importation privée de la maison Les Vieux Garçons. Il s’agissait d’un mourvèdre des vins P-U-R que Les Vieux Garçons ont décidé d’importer en « vinier » de 3L — il y a certainement un nom plus joli pour désigner la chose, mais vous voyez immédiatement de quoi il s’agit ! Je vous le recommande sans réserve !Je n’ai entendu aucun commentaire négatif de tout le repas : le tartare de saumon au pamplemousse avec fenouil confit, betteraves marinées et marmelade d’agrumes, le pressé de lapin à la pêche avec vinaigrette aux lardons, pêche confite, courgette et moutarde aux pêches et le potage de panais (avec dés de pomme Granny Smith, amande rôtie et fromage Comtomme) ont fait le bonheur de chacun à l’entrée. Les présentations sont réjouissantes à l’œil, et les saveurs sont à la hauteur !En plats principaux, on retrouve une chaudrée d’omble chevalier, pétoncles et moules, le fameux tartare de saumon, en format plat principal, et un paleron de boeuf avec gnocchis à la romaine. Le terme « paleron » a d’ailleurs alimenté nos conversations de blogueurs un temps : il s’agit d’une partie du boeuf située près de l’omoplate ! Nous avons joué de la fourchette avec appétit, pigeant dans une assiette puis dans l’autre. Pour ma part, je ne pense même pas que je pourrais choisir un gagnant parmi les plats principaux.Pour la note sucrée de la finale, nous avions le choix entre le fromage, le sucre ou le chocolat : l’économie de mots pour les noms cache bien l’explosion de saveurs qui nous guettait alors que nous savourions les dernières bouchées de ce repas de célébration.Un très grand merci au Clocher Penché de nous avoir reçu pour souligner notre première année d’existence — ce fût une première année riche de rencontres, et nous en espérons tout autant pour celle à venir !